Hélène Sonnet, flûte traversière et chant

Issue d’une famille de musiciens, Hélène SONNET, est diplômée du Conservatoire de Poitiers.

D' abord flûtiste au sein d’orchestres et de chœurs « classiques », elle enseigne à son tour  la musique pendant une dizaine d’années avant de se lancer dans la composition au travers du groupe TAAL (rock symphonique) – avec lequel elle fait ses premières « vraies scènes » en France et notamment à l’étranger (Allemagne, Suisse, Portugal, Belgique, Mexique, Pologne…)

Le pas franchi, elle multiplie les aventures musicales en intégrant diverses formations mélangeant les styles en tant que flûtiste mais aussi en tant que chanteuse : La Compagnie des Dix Doigts (Musique de Rue), L’Avic Team (Musique progressive), Le Lobe (Musiques Improvisées)... elle goûtera même aux joies du bal...

En 2009, elle monte le trio La Quinte (Chanson Française) qui connaît depuis lors un beau succès, confirmé avec le spectacle « Déboires et Maux d’Amour ».

Elle intègre le septet Las Gabachas de La Cumbia (Cumbia/ Musique Colombienne) ou Le Cri du Chapeau pour des remplacements et  s’essaie également à la salsa et au Latin Jazz…

Elle se lance dans le spectacle de rue avec la création de Faux R’accord (Musiques de Films), et de Noël au Balcon (Fanfare de Noël) avec notamment le saxophoniste Nicolas Scheid…

 

Salah Benbrahim, percussions (derbouka, daf) et oud

Issu d'une famille de musiciens traditionnels au Maroc, Salah Benbrahim évolue dans l'univers des percussions dès son plus jeune âge. 

A son arrivée en France en 2000, il créé Anwel Fes, formation mêlant musique traditionnelle marocaine et flamenco. Il créé l'école de danses et musiques orientales Ayoun Saltana à Poitiers en 2007 avec Yasmina Brunet. 

Soucieux d'enrichir ses compétences musicales, il voyage pour parfaire ses techniques (derbouka, daf) auprès d'Ibrahim El Minyawi en Allemagne, puis à l'école El Warcha en Egypte et au Maroc où il se forme au style traditionnel berbère, Ahwach.

Il suit également des cours de chant, de solfège, de musicologie, d'art-thérapie et étudie le oud à travers diverses formations. 

 

 

Emmanuelle Bouriaud, violon alto et choeurs

Emmanuelle Bouriaud obtient son DEM d’alto au CNR de Poitiers en 1994, puis son premier prix de musique de chambre au CNR de Tours en 1998. Dès lors, elle rejoint l’orchestre de chambre des Jeunes Archets de la Vienne. 

En 1998, elle intègre une compagnie de rue, ce qui lui permet d’explorer d’autres univers musicaux, et d’aborder le travail d’improvisation et l’apprentissage par l’oralité. Elle travaille pour la première fois avec la chanteuse Julie Toreau, qui lui fait découvrir l’univers des chansons traditionnelles. Grâce à l’impulsion du festival De Bouche à Oreille de Parthenay, elles fondent Julot Torride.

 

Parallèlement, en 2000, elle intègre le groupe Taal (rock expérimental) ou elle rencontre la flûtiste Hélène Sonnet. Elle participe à l’enregistrement de l’album Skymind (sorti en 2002 chez MUSEA) ainsi qu’à de nombreux festivals tant en France (Festival Crescendo à Saint Palais, festival Prog Sud aux Pennes Mirabeau -13), qu’à l’étranger (festival Baja Prog à Mexicali, Mexique ; festival Gouveia Art Rock au Portugal….)

Elle travaille aussi avec Jeff Marschalle (chanson française) avec qui elle participe aux Francofolies (2002), et aux Chantiers des Francos où elle profite de l’enseignement de Philippe Albaret.

En 2003, elle fonde, avec ses amies Hélène et Céline Sonnet, La Quinte, groupe de chansons françaises à texte. D’abord quintette puis sextet de 2003 à 2006, le groupe devient trio en 2008.

En 2007, la Compagnie Midi 12 (arts de la rue) lui propose d’intégrer « La Fanfare Electrique » en tant que bassiste et de participer à la création de son nouveau spectacle : « Betty ».

 

En 2009, elle fonde avec la comédienne Marion Berthier Goupile et Coyotte, duo de chansons empruntées à Serge Gainsbourg et à Brigitte Fontaine.